
Collégiale des saints Pierre et Ours
En commençant cette modeste description de la Collégiale des Saints Pierre et Ours, je ne saurais manquer de témoigner ma reconnaissance à M. Don Aldo ARMELLIN, prieur de la Paroisse Saint Ours, pour l’autorisation qu’il a bien voulu m’accorder pour la prise de photos afin d’agrémenter la présentation de mon article.
Je remercie également notre guide de l'Association culturelle Mirabilia, pour les précieuses informations fournies lors de cette visite pleine de riches découvertes.
Je tiens également à adresser mes profonds et vifs remerciements à l'Abbé Paolo PAPONE, Président de l'Académie Saint Anselme, pour les précieuses informations communiquées sur les deux personnages de Saints Ours , ayant officié à Aoste.
Les Visites:*Si la visite de l’église et de la Crypte sont libres, la visite du cloître et des fresques de l’église de la Collégiale Saint Ours, la visite guidée est payante et peut être faite, selon le nombre de visiteurs, en italien ou en français.
Visite guidée tous les jours. Novembre à Mars à 11h et 15h. Avril à Octobre à 11h et 16h
*Concernant le nom de Ours, ortographié également Urse, plusieurs saints portant le même nom sont honorés dans diverses régions et pays.
- Ours, abbé en Touraine.
- Il fonda trois monastères en Berry et en Touraine. Il se retira à Senevieres ou il construisit un oratoire avec un petit Hermitage, puis un autre monastère à Loches. Il mourut vers l’an 508.
La fête de Saint Ours et saint Libesse ou Leubasse, serait fêté le 28 juillet.
- Il fonda trois monastères en Berry et en Touraine. Il se retira à Senevieres ou il construisit un oratoire avec un petit Hermitage, puis un autre monastère à Loches. Il mourut vers l’an 508.
- Ours à Ravenne
- Évêque de Ravenne à la fin du IVe siècle, mort vers l'an 386
- Ours à Troyes
- Évêque de Troyes début du Ve siècle, mort en 426.
- Ours martyre à Aoste:
- Ours martyrisé, compagnon d’Alban n’était qu’un clerc et fut martyrisé à Aoste dans le dernier quart du IVe siècle, dans la lutte professée contre Arius sur la négation de la divinité de Jésus.
Il est fort possible qu'il fût enterré à Aoste hors des murs de la ville, dans la nécropole funéraire de la basilique paléochrétienne de Saint-Laurent, les aménagements liturgiques prouvant la présence de reliques non identifiables. Étant le seul martyr dont il est fait mention à Aoste, il fut l’objet d’un culte si important qu’une basilique funéraire fut bâtie au même endroit et les évêques se firent enterrer près de ses restes sacrés. Les prêtres de la ville se partagèrent, une partie mineure résident et officiant sur place, hors les murs, tandis que la partie majeure restait auprès de la cathédrale. Au début du XVIIe siècle à la cathédrale on recensait une relique de saint Ours martyr.
- Ours martyrisé, compagnon d’Alban n’était qu’un clerc et fut martyrisé à Aoste dans le dernier quart du IVe siècle, dans la lutte professée contre Arius sur la négation de la divinité de Jésus.
- Aoste: Prêtre Ours.
- Au même endroit, hors les murs, vers la fin du Ve siècle et le premier quart du VIe, un prêtre nommé Ours avait vécu si saintement que son culte prit un grand essor. Il fut enseveli dans l’église bâtie devant la basilique funéraire, sans doute au pied de la muraille méridionale. Lorsque l’église fut rebâtie (plusieurs fois), l’axe de l’édifice fut transporté vers le sud, de sorte que la sépulture se trouvait au centre du chœur et de la prière des chanoines. Ces mêmes chanoines en 1132 se réformèrent en assumant la règle augustinienne et en devenant un vrai monastère, et ils prirent comme leur patron saint Ours, le prêtre, donc un modèle identitaire, que la tradition dit avoir été aussi archidiacre d’Aoste (pour ce que ce titre peut dire au VIe siècle).
- Ours, légende de Burano
- Selon une *légende très ancienne, un sarcophage en pierre flottant sur l'eau arriva à Burano, du diocèse de Torello. Il contenait les corps de saint Ours, saint Alban et saint Dominique où ils reposent dans l'église San Martino Vescovo. Cette légende a inspiré un tableau d'Alessandro Zanchi (1631-1722), nommé Le Miracle des enfants tirant le cercueil sur le rivage.
- Ours compagnon de saint Victor.
- Martyre de la légion thébaine, dont le corps repose à la cathédrale Saint-Ours-et-Saint-Victor de Soleure en Suisse, il est fêté le 30 septembre.
- Ours à Meyronnes
- A Meyronnes dans les Alpes-de-Haute-Provence, le culte de saint Ours remonte à des temps très anciens. L’on y venait de très loin lors des pèlerinages. Ici comme à Aoste, les archives du sanctuaire ont été dispersées lors de la Révolution.
- Ours, à Auxerre
- Évêque d'Auxerre sous Clovis, mort le 30 juillet 508 et inhumé à Saint-Germain.
Saint Ours martyr IVe siècle
Note: Certains auteurs s’accordent sur le pays originaire de saint Ours comme étant l’Irlande, mais dans le millénaire qui a précédé le manuscrit de Novare, copié à Verceil vers la moitié du XVe siècle, l’on ne trouve point de trace d’un saint Ours étant fils du roi d’Ecosse, venu comme pèlerin à Rome puis à Aoste. Il est fort probable que cette information formulée au XVe siècle ne soit qu’une fantaisie voulue ou non de la part du copiste. Notons que l’époque du XIV et XVe siècle était propice à ce que l’on accorda des origines nobles à certains saints. Sur l’époque précise de sa vie, aucun texte ne peut le confirmer, mais il est certain qu’il vécut vers la fin Ve siècle ou au commencement du VIe.
Selon les auteurs concernant saint Ours venu d'Irlande : Empli de la plus grande foi possible envers la gloire de Dieu et du salut des âmes, il quitta l’Irlande comme le fit dans le même siècle, saint Gall, saint Colomban, et leurs douze compagnons pour venir en Bretagne d’abord puis en Suisse et enfin en Italie où ils fondèrent des établissements à l’ombre desquels fleurirent un nombre prodigieux de saints.
Après son départ d’Irlande, Saint Ours s’arrêta quelque temps dans le vallon de l’Ubayette à Meyronnes. Il y avait, au hameau qui s’appelait le Vieux Saint-Ours, une chapelle qui est tombée en ruine au XVIIe siècle. Elle fut reconstruite à un kilomètre au lieu appelé le Plan de Saint-Ours, surplombant, à 1800 mètres d'altitude, le village de Meyronnes.
Un oratoire et une croix de pierre ont été construits à l’emplacement de l’ancienne chapelle pour perpétuer la mémoire, comme la fontaine miraculeuse de saint Ours. "Selon la légende de saint Ours, en 1655 d’après les informations de l’archevêque d’Embrun, qu’il fut prouvé trois hommes atteint de paralysie avaient été guéris miraculeusement par l’intercession de saint Ours, de même que le 17 juin 1749, jour de la fête du saint Ours, un enfant de huit ans, porté par ses parents y fut guéri.
Il en résulte que le culte de saint Ours est immémorial, laissant une multitude de Saints pour s'attacher à saint Ours et l'honorer comme patron tant dans le Val d'Aoste, la Région Piémont, les Savoie, en Isère, les Hautes-Alpes de Provence, en Côte-d'Or (région Bourgogne-Franche-Comté)., en Valais, le canton de Soleure.
On implore la protection de saint Ours en toute occasion, autant pour être guérir que pour les calamités naturelles.
Ce qui me laisse songeur dans les récits d’anciens auteurs concernant saint Ours, c’est que l’on retrouve de semblables miracles en Savoie dans le village de Meyronnes qu'en vallée d’Aoste.
Il eu été intéressant de trouver l’une des éditions concernant « La vie de saint Ours», vulgairement saint Urse, confesseur, contitulaire du pays d’Aoste, tirée des vieux légendaires de l’office qui se récitait avant el Concile de Trente en l’église collégiale de Saint Pierre et Saint Ours d’Aoste, et en celle de Montbard dans le duché de Bourgogne, par le révérend père Nicolas-Joconde Arnod, prête-chanoine en cette église, docteur ès droits, bachelier en théologie, provicaire général et vice-official du diocèse d’Aoste, daté par l’écrivain de 1550. (Eglise de Montbard pour y avoir conservé une partie du crâne de saint Ours dans un reliquaire en bois, puis le 3 juin 1485 dans un buste en argent.
Saint Ours prêtre, V-VIe siècle
Un prêtre du nom de Ours officiait hors les murs de la ville vers la fin du Ve siècle et le premier quart du VIe à Aoste.
Il déploya une telle ferveur et de vertu dans son culte que celui-ci prit un essor très important auprès des fidèles.
Il fut enseveli dans l’église bâtie devant la basilique funéraire Saint Laurent. Lorsque l’église fut rebâtie (plusieurs fois), l’axe de l’édifice fut transporté vers le sud, de sorte que la sépulture se trouvait au centre du chœur et de la prière des chanoines. Ces mêmes chanoines en 1132 se réformèrent en assumant la règle augustinienne et en devenant un vrai monastère, et ils prirent comme leur patron saint Ours, le prêtre, donc un modèle identitaire, que la tradition dit avoir été aussi archidiacre d’Aoste (pour ce que ce titre peut dire au VIe siècle).
La règle établie à la collégiale saint Ours était celle de saint Augustin comme le mentionne les écrits des papes Innocent II, Luce II, Eugène III dans la collégiale. Règle renouvelée dans le décret du Concile de Reims sous Innocent II, renouvelé dans les mêmes termes par le Concile général de Lairan de 1139.

Le Faubourg Saint Ours
C’est au-delà de l’enceinte romaine marquée par les Portes Prétoriennes de l’antique cité d’Aoste, que s’étendait le Faubourg de Saint Ours.
Pour l’histoire : Les seigneurs de la Maison de Quart, dont l’origine remonte aussi haut que la Maison de Challant, portaient d’abord le nom de seigneurs de la Porte Saint Ours. Ils avaient pris cette dénomination parce que leur maison forte était située à l’entrée la cité, sur la porte romaine dite Porte de la Trinité, et aussi parce qu’ils avaient droits de juridiction sur les maisons et terres du bourg de Saint Ours, aujourd’hui faubourg d’Aoste.
Ils ne prirent le titre de chevaliers, sires de Quart, qu’à dater de l’année 1185, époque à laquelle Jacques, premier de ce nom, fit bâtir le château de Quart qui, aujourd’hui encore, s'élève malgré tant de siècles écoulés.
Dans un mémoire du Chanoine Marguerettaz, il existait au bourg de Saint-Ours, depuis des temps reculés, un hospice mentionné dans des chartes de 1259 et 1260 que l’on appelait « Vetus hospicium S. Ursi. » sur l'ancien chemin qui conduisait à la vallée du Grand Saint-Bernard. A son origine, il dépendait du Couvent de St Ours qui le faisait desservir par des membres de sa congrégation. D'une telle pauvreté, l’hospice du recourir à la charité publique, au point que l’évêque d’Aoste, Mgr Bersatoribus, le réunit à l’église collégiale dans un acte de 1298, laissant entendre qu’il fut fondé par le chapitre de la Collégiale.
Dans ce même faubourg de saint Ours, est né Anselme de Cantorbéry, moine, abbé et archevêque, dans une maison ayant appartenu autrefois à la famille de la Tour de Gressan, puis à la famille Tercinod. La maison a été reconstruite au XVIe siècle sur l’emplacement de celle qui a vu naitre saint Anselme.
L'Église Saint Pierre et Saint Ours
En l’an 56, Saint Pierre quitta Rome et arriva en annonçant l’Evangile au pied des Alpes dans un lieu appelé Saint Pierre de Stillan (près de Settovitone) à l’ouverture de la vallée d’Aoste. Une tradition encore vivante, consacre le fait des prédications de l’Apôtre dans la localité. Prenant ensuite la voie romaine « Ab Italia in Geneva», S Pierre remonta la vallée d’Aoste et arriva à « Augusta Prætoria Salassiorum».
Le séjour de St Pierre à Aoste est attesté par deux traditions, par un grand nombre de publications, et par des monuments qui remontent évidemment à cette époque de l’architecture romaine.
1° La tradition de l’Eglise Saint Pierre hors-les-Murs (église devenue au VIe siècle la Collégiale, dite aussi Basilique, Saint Pierre et Saint Ours). Cette tradition porte que S. Pierre célébra le Saint Sacrifice dans un lieu qui est devenu la Crypte de la Collégiale.
Pour la petite histoire: Au fond de la crypte, un passage sous l'autel permettait au fidèle de se glisser le jour de la Saint Ours pour guérir leur mal de dos.
2° La tradition affirmant que Saint Pierre est annoncé la Sainte Trinité aux Valdotains du haut des portes prétoriennes et de l’endroit même, où, en mémoire, l’on a construit la Chapelle de la Trinité de la Porte Saint-Ours ( 1416 ?). Cette chapelle, était bâtie sur les vestiges de la Porte Prétorienne que l’on nommait aussi Porte de la Trinité, et fut plus tard transporté dans la rue, puis dans la cathédrale.
Le bienheureux Eymeric de Quart, évêque d'Aoste, premier du nom, fonda en 1304 une chapelle sous le vocable de saint Blaise. Cette chapelle était située au-devant de l'église de Saint Ours, et était destinée à la sépulture des seigneurs de sa famille. L'évêque de Genève, Aymon, y fut enseveli. La chapelle de Saint Blaise fut démolie en 1676, en vertu d'une autorisation supérieure.

Jubé de l'église saint Pierre et Saint Ours
L'église saint Ours
Du style roman et gothique tardif, elle est l’œuvre de l’évêque Anselme Ier dédiée à saint Pierre, bâtit sur l'ancienne basilique paléochrétienne San Lorenzo, et d’une seconde de l’époque carolingienne.
Sa façade présente un pignon inhabituel en terre cuite, comme une partie de la façade de l’ensemble architecturale. En vallée d’Aoste l’on n’utilisait pas ce matériau, mais plutôt la pierre qui est partout tout autour. L’on doit ce type de décoration à Georges de Challant qui entrepris un important chantier de restauration au XVe siècle.
L’intérieur de l’église est composé de trois nefs terminées par des absidioles. Le chœur en bois du XIVe siècle.
Du cycle de fresques qui recouvraient les murs de l’églises, il n’en reste que quelques fragments dans la partie basse de l'édifice hormis celles près de l’entrée droite de la crypte, où l’on peut découvrir au centre le Martyre de Saint Sébastien.
Les fresques post-carolingiennes les plus intéressantes datant de l'époque de l'évêque Anselme, XIe siècle, sont celles situées en sous-toiture de l'église, préservées miraculeusement lors de la rénovation du XVe siècle.
Une mosaïque carrée au sol, composée de tesselles blanches, noires et brunes, dont la représentation principale est celle de Samson terrassant le lion, sont d’une grande valeur artistique.

Clocher de l'église saint Pierre et Saint Ours
Au-devant de l’église s’élève le grand clocher de la collégiale, bâti avec des pierres des remparts romains, attirant tous les regards. L’on y accédait par une échelle située à quelques mètres du sol, que l’on retirait le soir ou devant un ennemi par mesure de sécurité. L’on doit au chanoine Gontier d’Aime, prieur de Gressan, la construction au XIIIe siècle du clocher de la collégiale et la fondation d’un réfectoire le jour de l’Ascension.
Gontier d’Aime était d’une noble famille, étant d’un âge avancé, il a pu réaliser d’importantes économies et les employer à la construction de cet ouvrage.

Cloître de la Collégiale saint Pierre et Saint Ours.
Arnulphe, issu de la maison d'Avise, fut le premier prieur claustral de saint Ours et reçu sa sépulture dans l'église de la collégiale de Saint Ours. L’une des colonnes du cloître, l’évêque Herber est représenté, bénissant le prieur Arnulph avec l’inscription « Arbertus Episcopus benedictit priorem »
Il se consacra à la restauration de l’ancienne demeure des chanoines en un véritable monastère. Attenant à l’église il fit bâtir le cloitre, rien n’assure qu’il en fut l’exécuteur, mais les travaux entrepris ont dû naturellement pris sous sa direction au XIIe siècle. Composé de 52 chapiteaux de style lombard-provençal en marbre blanc posés sur posés sur une assise de marbre noir d'Aymavilles, il est considéré comme le second cloitre italien. Les voutes étant reconstruites au XVe siècle et les colonnes de marbre blanc recouvertes d'une peinture noire.
Chaque chapiteau représente une scène différente de l'ancien testament : Deux des chapiteaux des colonnes sont ornés de figures capricieuses de sujets empruntés à l'Ancien Testament, à la fable ou la tradition antiques. Deux des colonnes portent les inscriptions du siècle de Charlemagne, gravé sur le pilier de l'angle sud-est indique l'époque où le Chapitre de la Collégiale Saint Ours embrassa la vie religieuse, Ésaü et Jacob, la fuite en Égypte, les rois Mages devant Hérode, fables de Ésope, la cigogne et le renard, Amulphe incliné devant saint-Augustin, et notamment celles de saint Ours : le miracle de la source, le jugement dernier de l'évêque Plocéan et saint Ours.

Fresques de la Collégiale Saint Ours.
Les fresques de l’église de la collégiale Saint Ours, datées du XIe siècle, sont un précieux témoignage unique en Europe de l'art roman en Vallée d'Aoste datant de l'époque de l'évêque Anselme.

Chapelle des Challant.
De petite dimension avec une double voute ogivale, la chapelle que Georges de Challant a fait édifiée au second étage du prieuré est d’une magnificence remarquable. La main d'un artiste a transformé l’ensemble du lieu en une succession de tableaux magnifiques. L’on y voit saint Georges à cheval, Georges de Challant vêtu d’un costume rouge agenouillé devant la vierge, entre saint Pierre et saint Ours, un agneau sous un ciel étoilé.
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La comtesse de Challant, Marguerite de La Chambre, veuve du comte Louis, demeura au prieuré que Georges de Challant, son cousin et tuteur de son fils, avait transformé. Elle y dicta son testament.
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